Revue de presse pour « Chroniques
du ciel et de la vie »
(sorti en mars 2005)
La version livresque des « Dialogues du ciel et de la vie », ces chroniques radiophoniques hebdomadaires diffusées sur France-Culture a, durant plusieurs semaines, occupé les premières places des ventes chez les libraires.
La presse, tant écrite que parlée ou télévisuelle, a fait état de cette sortie simultanée à l'édition de « Mal de Terre » en livre de poche.
Citons par exemple :
- pour la France :
- une interview d'Hubert Reeves sur le plateau de « On ne peut pas plaire à tout le monde », le dimanche 6 mars 2005 (TF1).
- une brève dans la presse régionale (La Montagne, Le Berry Républicain, Le Journal du Centre, Le Populaire du Centre) du dimanche 27 mars 2005.
- « Un seul monde », un article signé de Sylvie Mayer, dans L'Humanité du 1er avril 2005. La journaliste, en même temps chercheure en biologie parle de « cinquante évocations fulgurantes » et évoque le « temps trop long des prises de décisions et (le) temps trop court de la démocratie représentative, temps très rapide des agressions humaines face aux échelles très longues de la géologie, du cycle de l'eau, ou des évolutions climatiques ». Sylvie Mayer écrit ce que les visiteurs de ce site nous disent de l'ouvrage : « Facile à lire, il est à mettre entre toutes les mains, jeunes et moins jeunes ». Article disponible en ligne.
- une brève signée DJL, dans le mensuel « Sciences et Avenir ».
- un grand encadré « On a lu pour vous » dans « Echo Nature », nouvelle publication bimestrielle (n° d'avril/mai 2005) de Web Espace, avec une belle photo de la couverture du livre. Question sélectionnée par le rédacteur : « Comment les humains sont-ils arrivés à générer des interactions aussi puissantes et aussi rapides au point qu'ils pourraient en être eux-mêmes victimes ? ».
- pour la Belgique :
- une brève dans le « Journal du médecin » du 4 mars 2005, pour attirer l'attention sur ces chroniques du « Léonard de l'éther ».
- un article dans la revue « Imagine » du 1er mai 2005 insiste sur les extinctions d'espèces, et souligne « que l'avenir de l'humanité est problématique ». Il se termine par l'alternative évidente : « S'humaniser ou périr : ainsi pourrions-nous présenter l'enjeu auquel nous voilà confrontés ».
- pour le Canada :
- Louis Cornellier exprime, dans « Le Devoir » des 9 et 10 avril 2005, tout le bien qu'il pense de l'ouvrage traitant « de l'agression que l'humanité fait subir à la nature, menaçant par contre-coup son propre devenir », comme le disait déjà le philosophe Hans Jonas, souhaitant éveiller le sens des responsabilités individuelles. Conclusion du journaliste : « Lire Hubert Reeves, c'est encore et toujours redécouvrir qu'il n'y a pas d'espoir sans lucidité ».
- une émission à Radio Canada, dans l'émission « Par quatre chemins », le dimanche 17 avril 2005, à l'occasion du Jour de la Terre … Un enregistrement est disponible en ligne, à écouter, ou réécouter.
- dans le magazine féminin « Elle Québec » de mai 2005, l'interdépendance de l'humanité et de la nature est soulignée. Le journaliste Denis Lord regrette la brièveté des textes, oubliant qu'ils sont la transcription de chroniques radiophoniques de chacune de cinq minutes.
- dans Le Journal De Montréal daté du 29 mai 2005, Manon Guilbert consacre une page aux chroniques dont elle retient que « réunies dans un petit livre, (elles) visent un même but : la conscientisation ». Elle réussit à faire parler l'auteur de lui-même : « Dans la vie, précise-t-il, je ne suis pas un autoritaire. Je n'aime pas voir les choses sous l'angle du drame. Je ne bouscule pas, et j'essaie de donner aux gens le goût d'apprendre par eux-mêmes ». Mais il n'apprécie pas le fatalisme, « bonne façon de s'excuser et de ne rien faire ». Hubert Reeves n'est évidemment pas fataliste : il se veut, comme toujours, « volontairement optimiste ». Définitivement.