Revue de presse pour « Mal de Terre »
(sorti en avril 2003)
La sortie du livre « Mal de Terre » a suscité de très nombreux articles tant en France qu'à l'étranger, tout au moins dans les pays francophones, puisqu'il n'y a de version que française.
Il est impossible de citer tous les journaux ou hebdomadaires qui ont parlé du livre. Et le choix effectué est parfaitement arbitraire et tributaire des coupures de presse recueillies.
Citons par exemple :
- pour la France :
- « Terre, les scénarios de l'angoisse » dans
Télé 7 Jours du 5 au 11 avril 2003.
Cet article est un extrait du chapitre consacré au réchauffement climatique. - « Hubert Reeves, écolo planétaire » sous la
signature de Benoît Hopquin (Le Monde
du 30 mai 2003),
qui salue que « au-delà de ses pessimismes, l'auteur garde foi dans l'intelligence » et souligne que « le principe de précaution, un des pivots complexes de la pensée écologique, devient aussi limpide, une fois expliqué par l'astrophysicien » …
- « Terre, les scénarios de l'angoisse » dans
Télé 7 Jours du 5 au 11 avril 2003.
- pour la Belgique :
- « Maux de Terre » dans
Le Vif/L'Express du 9 mai 2003.
Article uniquement consacré au livre :
« Le temps d'un ouvrage, l'astrophysicien canadien quitte l'histoire de l'Univers et sa “poussière d'étoiles” pour nous plonger jusqu'au cou — mais avec quel sens de la pédagogie ! — dans les maux qui ravagent la planète ». - « La fièvre planétaire »,
toujours dans Le Vif/L'Express, le 15 août 2003.
Signé de Philippe Lamotte, cet article détaille les indices qui signalent « les effets des graves perturbations du système climatique mondial », rappelle que « lors de la dernière glaciation du globe (il y a 20 000 ans), la température moyenne était inférieure d'à peine 5 degrés à celle d'aujourd'hui » et, citant Hubert Reeves, rappelle qu'« une différence de quelques degrés, n'est pas un changement mineur, loin s'en faut ».
- « Maux de Terre » dans
Le Vif/L'Express du 9 mai 2003.
- pour la Suisse :
- « Hubert Reeves a le “Mal de terre” »
dans 24 heures
(le journal de Lausanne) du 7 mai 2003.
L'interview accordée à Joëlle Fabre permet à Hubert Reeves d'en appeler à des pratiques quotidiennes plus économes en énergie :
« Le petit gaspillage individuel n'est qu'une goutte d'eau, mais si on le multiplie par 6 milliards, on voit ce que cela donne ».
- « Hubert Reeves a le “Mal de terre” »
dans 24 heures
(le journal de Lausanne) du 7 mai 2003.
- pour le Canada :
- « Sauver la conscience » dans
Le Devoir du 15 juin 2003.
Le journaliste, Louis-Gilles Francœur, conclut :
« C'est dans la mobilisation planétaire autour des enjeux sur l'environnement, une première dans l'histoire d'une humanité qui essaie pour la première fois de se prendre en charge, qu'Hubert Reeves voit poindre quelque espoir ». - « Adieu la Terre ? » dans
La Presse du lundi 17 novembre 2003.
Il s'agit d'une interview, réalisée par Charles Côté, et qui est en quelque sorte une réplique à Bjørn Lomborg, « L'écologiste sceptique ». Les divers chapitres du livre sont abordés. Retenons plutôt ce constat :
« C'est assez vrai que les gouvernements nationaux ne sont plus aussi puissants qu'avant et qu'au contraire, les mouvements de citoyens et les ONG, les organismes mondiaux, prennent une importance de plus en plus grande. C'est probablement d'eux que viendront, on espère, des solutions. Je pense aussi que la démocratie reste une chose fondamentale, mais qu'elle doit évoluer. Il faut que les politiciens apprennent à penser plus loin que leur réélection. Cela demande une prise de conscience personnelle, mais c'est quelque chose qu'on voit de plus en plus, un peu partout. Les politiciens sont de plus en plus ouverts aux questions environnementales … »
- « Sauver la conscience » dans
Le Devoir du 15 juin 2003.